samedi 23 décembre 2006

Etes – vous fassiphile ou fassiphobe ?

Le Maroc serait-il fassié par les fassis ? Hélas oui. Il n’y a pas un seul poste de responsabilité au Maroc qui n’est fassié et "ben"-ifié... Le Maroc est en réalité une fassicratie. Je défie toute personne de me traiter de fassiphobe. C'est la stricte vérité. Je dis ce que des milliers de marocains pensent tout bas. En France, dire que les juifs sont majoritairement présents dans le paysage médiatique français n’est pas de l’antisémitisme. C’est une réalité.

Mais attention, ne mélangeons pas tout. Il y les gentils et les mauvais fassis. Vous reconnaîtrez les gentils parce qu’ils qui se foutent de qui vous êtes, d’où vous venez et du montant de votre porte – monnaie. Par contre, les méchants fassis sont ces insectes qui travaillent secrètement pour le FLF (Front de Libération Fassie) et qui ne cessent de vous poser les habituelles questions d’investigation « Quel est ton nom de famille ? » « Qu’est – ce que tu fais dans la vie ? » …
Si ça sonne fassi, vous êtes en sécurité. Epargné de leur mépris. Si ça sonne autre chose que fassi, vous serez classés dans la catégorie « élément à éliminer ». Peut – être même qu’ils vous feront porter l’étoile d’infassicrabilité. Dans ce cas, des millions de marocains la portent déjà.

Le Maroc est hélas tombé dans une benmania. Une incroyable obsession à l’identité fassie. Une profonde croyance à l’ancien adage : diviser pour mieux régner. Mais il faut se réveiller et résister contre cette fassicrasition intempestive de notre pays. Il faut karchériser cette racaille fassie qui pollue notre beau pays des merveilles et qui se croit tout permis pour qu’enfin chaque marocain compétent et non - fassi puisse avoir sa chance de décrocher les postes qui sont habituellement destiné aux fassis.

Alors, à quand la fin de l’Apartheid marocain ?

P.S : je suis fassia... ;-)

A lire :
- TelQuel :
http://www.telquel-online.com/124/couverture_124_1.shtml

Jules Romain

"Être tolérant ne signifie pas qu'on doive tolérer l'intolérance des autres."